L’enquête de la DGCCRF visant à contrôler les espèces annoncées, les additifs employés pour les filets de poisson et leur teneur en eau a révélé un taux de non-conformité global de 31 %. Les anomalies, en hausse par rapport à la précédente enquête, concernent principalement les additifs et l’ajout d’eau.
S’agissant du contrôle des espèces, les manquements sont rares. Ils concernent plus particulièrement les filets de loup de mer d’Islande pour lesquels l’analyse a révélé un mélange d’espèces. Quelques anomalies d’étiquetage ont également été constatées comme par exemple des filets de flétan noir surgelés pour lesquels l’étiquetage mentionnait la dénomination tronquée flétan ou l’absence d’indication du nom scientifique sur l’étiquetage de merlu blanc.
L’emploi d’additifs tels que l’acide citrique, érythorbique, les polyphosphates a été décelé sans que ceux-ci soient toujours indiqués dans la liste des ingrédients.
L’ajout d’eau, par injection ou trempage, additionnée de sel est l’anomalie la plus répandue (36 échantillons). Cette adjonction d’eau est néanmoins de plus en plus souvent déclarée dans la liste des ingrédients sans pour autant que la dénomination s’en trouve systématiquement modifiée. Cet ajout concerne notamment les filets de panga et les longes de thon. D’autres anomalies apparaissent à l’occasion de cette enquête…
DGCCRF - 2016-03-14
S’agissant du contrôle des espèces, les manquements sont rares. Ils concernent plus particulièrement les filets de loup de mer d’Islande pour lesquels l’analyse a révélé un mélange d’espèces. Quelques anomalies d’étiquetage ont également été constatées comme par exemple des filets de flétan noir surgelés pour lesquels l’étiquetage mentionnait la dénomination tronquée flétan ou l’absence d’indication du nom scientifique sur l’étiquetage de merlu blanc.
L’emploi d’additifs tels que l’acide citrique, érythorbique, les polyphosphates a été décelé sans que ceux-ci soient toujours indiqués dans la liste des ingrédients.
L’ajout d’eau, par injection ou trempage, additionnée de sel est l’anomalie la plus répandue (36 échantillons). Cette adjonction d’eau est néanmoins de plus en plus souvent déclarée dans la liste des ingrédients sans pour autant que la dénomination s’en trouve systématiquement modifiée. Cet ajout concerne notamment les filets de panga et les longes de thon. D’autres anomalies apparaissent à l’occasion de cette enquête…
DGCCRF - 2016-03-14
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