
Six ans après son lancement, le Plan Deeptech, opéré par Bpifrance pour le compte de l’État dans le cadre du programme France 2030, a fortement accéléré le transfert de technologie sur l’ensemble du territoire. Avec 2 589 start-up Deeptech actives, dont 385 créées en 2024, le vivier de jeunes pousses doit maintenant faire émerger des leaders industriels et technologiques.
La France est aujourd’hui un acteur clé de la Deeptech en Europe et représente 20 % des levées de fonds Deeptech sur le continent.
La deeptech française est à un tournant pour conserver et consolider sa compétitivité et son attractivité. D’ici 2030, les startups deeptech auront besoin de mobiliser au moins 30 Md€ de financement public et privé pour leur développement, selon les estimations de la Direction Générale des Entreprises.
Pour ce faire, la France doit conserver les acquis de son modèle d’innovation de rupture (écosystème de recherche et soutien public en amont ; développement et structuration du marché du financement early stage) tout en levant les barrières qui brident le développement de champions technologiques de niveau mondial, au risque de décrocher économiquement et géopolitiquement.
À partir d’une large consultation de l’écosystème deeptech français, ce rapport propose une feuille de route pour alimenter la troisième phase du Plan Deeptech.
Pour cela, nous retenons trois axes pour relever le défi du passage à l’échelle :
- Le renforcement de la valorisation de la recherche scientifique française, en accélérant le passage du lab to market,
- Un besoin d’au moins 30 Md€ de financement d’ici 2030 pour les entreprises deeptech
- L’accélération de la transition des startups deeptech vers des entreprises industrielles compétitives
Sur la base de ces conclusion et pistes, une réflexion interministérielle, associant l’ensemble des acteurs privés de l’écosystème deeptech, doit aboutir d’ici l’été à une nouvelle stratégie en faveur de la deeptech française.
Consulter le rapport : L’innovation de rupture au défi du passage à l’échelle
Source - Caisse des dépôts
La France est aujourd’hui un acteur clé de la Deeptech en Europe et représente 20 % des levées de fonds Deeptech sur le continent.
La deeptech française est à un tournant pour conserver et consolider sa compétitivité et son attractivité. D’ici 2030, les startups deeptech auront besoin de mobiliser au moins 30 Md€ de financement public et privé pour leur développement, selon les estimations de la Direction Générale des Entreprises.
Pour ce faire, la France doit conserver les acquis de son modèle d’innovation de rupture (écosystème de recherche et soutien public en amont ; développement et structuration du marché du financement early stage) tout en levant les barrières qui brident le développement de champions technologiques de niveau mondial, au risque de décrocher économiquement et géopolitiquement.
À partir d’une large consultation de l’écosystème deeptech français, ce rapport propose une feuille de route pour alimenter la troisième phase du Plan Deeptech.
Pour cela, nous retenons trois axes pour relever le défi du passage à l’échelle :
- Le renforcement de la valorisation de la recherche scientifique française, en accélérant le passage du lab to market,
- Un besoin d’au moins 30 Md€ de financement d’ici 2030 pour les entreprises deeptech
- L’accélération de la transition des startups deeptech vers des entreprises industrielles compétitives
Sur la base de ces conclusion et pistes, une réflexion interministérielle, associant l’ensemble des acteurs privés de l’écosystème deeptech, doit aboutir d’ici l’été à une nouvelle stratégie en faveur de la deeptech française.
Consulter le rapport : L’innovation de rupture au défi du passage à l’échelle
Source - Caisse des dépôts
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