
Ces dernières années, les modes de consommation des Français ont fortement évolué. Notamment en ville où consommer hors de chez soi s’inscrit de plus en plus dans les habitudes.
La consommation hors domicile, c’est quoi ?
La consommation hors domicile (CHD) correspond aux repas, en-cas ou boissons non préparés à la maison, à tous les moments de la journée : petit-déjeuner, déjeuner, dîner, en-cas ou boisson en dehors des repas, ainsi qu’à toutes les occasions : vente à emporter (livraison, drive, click & collect, toute autre commande pour la consommation à emporter) ou sur place (restauration commerciale ou collective).
L’étude menée prend en compte les emballages liés à la consommation des ménages exclusivement. Elle ne prend pas en compte les emballages de formats commerciaux et industriels utilisés par les professionnels (comme un fût de bière pression), ni les emballages utilisés pour la préparation des repas en cuisine (comme l'emballage d'une plaquette de beurre ou d'un sachet de frites).
Ainsi, la consommation hors du domicile, qui prend aussi en compte le click & collect ou le drive, génère de nombreux emballages dont l’impact sur l’environnement doit être réduit : en supprimant les emballages inutiles, en les collectant dans la rue, les espaces publics ou privés, et en mobilisant les Français à ne pas les jeter par terre mais à les trier.
Pour réussir, il est nécessaire de bien identifier ces emballages.
Quels sont-ils ? Combien sont-ils ? Dans quels secteurs d’activité les trouve-t-on ?
C’est ce que nous apprend l’étude menée par Citeo en partenariat avec l’Ademe.
Citéo >> Etude complète
La consommation hors domicile, c’est quoi ?
La consommation hors domicile (CHD) correspond aux repas, en-cas ou boissons non préparés à la maison, à tous les moments de la journée : petit-déjeuner, déjeuner, dîner, en-cas ou boisson en dehors des repas, ainsi qu’à toutes les occasions : vente à emporter (livraison, drive, click & collect, toute autre commande pour la consommation à emporter) ou sur place (restauration commerciale ou collective).
L’étude menée prend en compte les emballages liés à la consommation des ménages exclusivement. Elle ne prend pas en compte les emballages de formats commerciaux et industriels utilisés par les professionnels (comme un fût de bière pression), ni les emballages utilisés pour la préparation des repas en cuisine (comme l'emballage d'une plaquette de beurre ou d'un sachet de frites).
Ainsi, la consommation hors du domicile, qui prend aussi en compte le click & collect ou le drive, génère de nombreux emballages dont l’impact sur l’environnement doit être réduit : en supprimant les emballages inutiles, en les collectant dans la rue, les espaces publics ou privés, et en mobilisant les Français à ne pas les jeter par terre mais à les trier.
Pour réussir, il est nécessaire de bien identifier ces emballages.
Quels sont-ils ? Combien sont-ils ? Dans quels secteurs d’activité les trouve-t-on ?
C’est ce que nous apprend l’étude menée par Citeo en partenariat avec l’Ademe.
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