
La photographie de la France aujourd’hui est celle d’un pays profondément déséquilibré : les quinze plus grandes métropoles concentrent 81 % de la croissance économique alors qu’elles ne représentent que 30 % de la population française. Les "territoires épars", c’est-à-dire les territoires situés en dehors des grandes métropoles, représentent - quant à eux 70 % de la population de notre pays et connaissent une croissance économique, ainsi qu’un niveau de vie en stagnation voire en déclin.
Reflet du dynamisme économique national, la mue de nos métropoles en pôles d’attractivité économique, démographique et culturelle, de rangs européen et mondial, est un atout indéniable pour notre pays. Pour autant, cette métropolisation a favorisé l’émergence d’un sentiment d’abandon dans les territoires épars qu’il convient d’interroger.
Les territoires épars
Dans cette étude, le terme "territoires épars" désigne les territoires situés en-dehors des grandes métropoles, notamment les villes moyennes et la France rurale. Cette France des territoires épars représente 98 % de la superficie du territoire national.
De manière générale, ces territoires pâtissent de moins bonnes infrastructures de réseaux et d’un faible nombre de centres décisionnaires d’entreprises importantes qui les rendent plus vulnérables aux crises.
Ces territoires renvoient néanmoins à des situations très diverses avec des désavantages structurels qui leurs sont propres. (…)
Un plan de rééquilibrage territorial ne doit pas s’accompagner d’une aggravation de notre empreinte environnementale.
Au contraire, cela doit être l’occasion d’accélérer le verdissement de notre économie au niveau national.
Pour ce faire, deux leviers sont à privilégier :
- l’habitat ;
- la mobilité.
Rapport ( 128 pages)
Résumé ( 2 pages)
Reflet du dynamisme économique national, la mue de nos métropoles en pôles d’attractivité économique, démographique et culturelle, de rangs européen et mondial, est un atout indéniable pour notre pays. Pour autant, cette métropolisation a favorisé l’émergence d’un sentiment d’abandon dans les territoires épars qu’il convient d’interroger.
Les territoires épars
Dans cette étude, le terme "territoires épars" désigne les territoires situés en-dehors des grandes métropoles, notamment les villes moyennes et la France rurale. Cette France des territoires épars représente 98 % de la superficie du territoire national.
De manière générale, ces territoires pâtissent de moins bonnes infrastructures de réseaux et d’un faible nombre de centres décisionnaires d’entreprises importantes qui les rendent plus vulnérables aux crises.
Ces territoires renvoient néanmoins à des situations très diverses avec des désavantages structurels qui leurs sont propres. (…)
Un plan de rééquilibrage territorial ne doit pas s’accompagner d’une aggravation de notre empreinte environnementale.
Au contraire, cela doit être l’occasion d’accélérer le verdissement de notre économie au niveau national.
Pour ce faire, deux leviers sont à privilégier :
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