
Le Cerema fait évoluer la méthodologie IQOA-murs en introduisant la quantification de l’étendue des principaux désordres. Cette nouvelle évaluation permet notamment aux gestionnaires de prioriser plus facilement les réparations de leurs ouvrages. L’additif méthodologique ainsi que les catalogues de désordres mis à jour sont disponibles sur la boutique en ligne
La méthodologie actuelle majore les défauts
La déclinaison de la méthodologie IQOA (Images Qualité des Ouvrages d’Art) pour les murs a été mise en place sur le réseau national en 2005 et utilisée pendant une dizaine d’années. Il apparaît que cette façon de noter les murs majore les dégradations puisqu’un ouvrage qui peut mesurer plus de 500m est coté selon son pire défaut, dont la surface peut ne pas excéder un mètre carré.
Une nouvelle méthodologie adaptée aux enjeux actuels de priorisation et d’efficacité
La quantification des désordres introduite dans l’additif permet d’obtenir une image plus réaliste de l’image du patrimoine. Cela permet au gestionnaire de distinguer les ouvrages les plus atteints et donc ceux qui sont le plus prioritaires. Quantifier la surface atteinte permet également de prévoir au mieux les travaux et les dépenses correspondantes. Enfin, une image plus précise permet de suivre au plus près les politiques de gestion et d’évaluer leur efficacité.
Il s’agit d’une modification qui permet d’obtenir une information de qualité sans augmenter de manière significative la durée des visites. Les livrables sont disponibles gratuitement sur la boutique en ligne du Cerema.
CEREMA - 2018-04-25
La méthodologie actuelle majore les défauts
La déclinaison de la méthodologie IQOA (Images Qualité des Ouvrages d’Art) pour les murs a été mise en place sur le réseau national en 2005 et utilisée pendant une dizaine d’années. Il apparaît que cette façon de noter les murs majore les dégradations puisqu’un ouvrage qui peut mesurer plus de 500m est coté selon son pire défaut, dont la surface peut ne pas excéder un mètre carré.
Une nouvelle méthodologie adaptée aux enjeux actuels de priorisation et d’efficacité
La quantification des désordres introduite dans l’additif permet d’obtenir une image plus réaliste de l’image du patrimoine. Cela permet au gestionnaire de distinguer les ouvrages les plus atteints et donc ceux qui sont le plus prioritaires. Quantifier la surface atteinte permet également de prévoir au mieux les travaux et les dépenses correspondantes. Enfin, une image plus précise permet de suivre au plus près les politiques de gestion et d’évaluer leur efficacité.
Il s’agit d’une modification qui permet d’obtenir une information de qualité sans augmenter de manière significative la durée des visites. Les livrables sont disponibles gratuitement sur la boutique en ligne du Cerema.
CEREMA - 2018-04-25
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