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Politique de la ville

Désirabilité et plaisirs en ville, un an après le début de la crise sanitaire

Article ID.CiTé du 19/03/2021



Désirabilité et plaisirs en ville, un an après le début de la crise sanitaire
Dans un contexte où les mesures sanitaires et les restrictions à la vie quotidienne se sont multipliées dans les grandes villes afin de lutter contre l’épidémie de Covid-19, l’urbanité est-elle devenue plus terne, plus triste ?

Après avoir montré, en 2018-2019, que les urbains vivaient leur ville avec entrain, fluidité et appétit, LCL et Harris Interactive les ont réinterrogés pour connaître leur vécu en ces temps de crise.

Un an après l’arrivée de l’épidémie en France, après de nombreux bouleversements et une alternance entre couvre-feux et confinements, comment les urbains vivent la ville aujourd’hui ?

Si les précédentes enquêtes, menées en octobre et en décembre derniers, ont montré une vie en ville quelque peu bousculée par les contraintes sanitaires, aujourd’hui le rapport à la ville semble se stabiliser.
Vivre en ville sous contraintes comporte ses difficultés mais les urbains semblent s’y habituer, et s’adapter aux nouveaux enjeux que cela implique.

Cette enquête, réalisée du 24 février au 1 mars auprès d’un échantillon représentatif de 1 021 personnes, représentatif des urbains (personnes vivant dans des agglomérations de 100 000 habitants ou plus) suggère que les habitudes des urbains se réinventent et que leurs nouvelles pratiques s’inscrivent désormais sur le long terme.

Que retenir de cette enquête
 ?
- Un plaisir d’habiter en ville toujours présent quoique légèrement terni
- Avec la crise sanitaire, de nouvelles habitudes qui s’inscrivent dans la durée
- Paiement sans contact, achats en ligne : une nouvelle consommation appelée à perdurer
- Pour demain, la redécouverte d’un mode de vie urbain sans révolutions, mais avec davantage de services


Source >> HARRIS INTERACTIVE pour LCL
Enquête réalisée en ligne du 24 février au 1er mars 2021. Échantillon de 1 021 personnes, représentatif des urbains, c’est à dire des Français vivant dans des agglomérations regroupant 100 000 habitants ou plus, âgés de 18 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle, région et taille d’agglomération de l’interviewé(e).




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