
Les friches sont une opportunité pour atteindre le zéro artificialisation nette en 2050. Mais leur reconversion ne s'improvise pas. Les maires redoublent d'ingéniosité pour faire aboutir ces opérations complexes.
Les freins à la reconversion des friches sont nombreux et bien connus des élus locaux. La réappropriation de ces espaces vus comme des plaies béantes représente un intérêt majeur pour les territoires, sur le plan économique, social et environnemental.
Diverses par leur nature, leur emplacement, les friches étaient jusque-là très peu répertoriées, en dehors des friches industrielles ou polluées via les bases Basias (anciens sites industriels) et Basol (sites et sols potentiellement pollués). Divers outils du Cerema aident dorénavant les élus (Cartofriches, UrbanVitaliz).
Les friches sont devenues des gisements fonciers recherchés par les communes, notamment celles qui font face à un besoin immédiat de logements. Et c’est bien le problème du ZAN - dont les projets de décrets ont reçu un avis défavorable des associations d’élus.
Difficile, dans ces conditions, de faire de la réhabilitation des friches un axe du ZAN, ces opérations complexes nécessitant une maîtrise foncière sur le long terme - une visibilité et une lisibilité que n’assure pas le fonds friches, estime l’AMF.
AMF >> Communiqué complet
Les freins à la reconversion des friches sont nombreux et bien connus des élus locaux. La réappropriation de ces espaces vus comme des plaies béantes représente un intérêt majeur pour les territoires, sur le plan économique, social et environnemental.
Diverses par leur nature, leur emplacement, les friches étaient jusque-là très peu répertoriées, en dehors des friches industrielles ou polluées via les bases Basias (anciens sites industriels) et Basol (sites et sols potentiellement pollués). Divers outils du Cerema aident dorénavant les élus (Cartofriches, UrbanVitaliz).
Les friches sont devenues des gisements fonciers recherchés par les communes, notamment celles qui font face à un besoin immédiat de logements. Et c’est bien le problème du ZAN - dont les projets de décrets ont reçu un avis défavorable des associations d’élus.
Difficile, dans ces conditions, de faire de la réhabilitation des friches un axe du ZAN, ces opérations complexes nécessitant une maîtrise foncière sur le long terme - une visibilité et une lisibilité que n’assure pas le fonds friches, estime l’AMF.
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