Dans le roman Rue des Pâquerettes, Mehdi Charef propose une mémoire des bidonvilles à hauteur d’enfant. Cette mémoire montre à la fois les effets néfastes de la ségrégation et de la précarité, et les ressources invisibles que recèle cet espace pour s’en sortir.
Ce compte rendu aborde ces apports d’une narration enfantine reconstituée pour saisir de l’intérieur les conditions matérielles de vie en bidonville, puis les pistes d’analyse suggérées par l’ouvrage en matière de socialisation et de différenciation des trajectoires des enfants des bidonvilles.
Sommaire
- Ce qu’apporte le regard rétrospectif d’un enfant sur la vie en bidonville
- L’hétérogénéité des socialisations en habitat ségrégé et précaire
Source - Métropolitiques
Ce compte rendu aborde ces apports d’une narration enfantine reconstituée pour saisir de l’intérieur les conditions matérielles de vie en bidonville, puis les pistes d’analyse suggérées par l’ouvrage en matière de socialisation et de différenciation des trajectoires des enfants des bidonvilles.
Sommaire
- Ce qu’apporte le regard rétrospectif d’un enfant sur la vie en bidonville
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