La mission fait le constat d’un retard important dans la mise en oeuvre par rapport à la métropole, variable d’un DROM à l’autre et dont la responsabilité se partage entre le niveau national et le niveau local. La mission formule des recommandations adressées aux administrations centrales et aux acteurs locaux. Elle prône la nécessité d’affirmer une volonté nationale d’aider les DROM à rattraper leur retard. Elle préconise de les considérer comme des territoires d’innovation sur des thématiques les concernant directement.
Sur les aspects techniques, la mission formule diverses recommandations visant à prioriser le système d’alerte aux populations, à accélérer le rattrapage en matière de veille hydrologique. Elle insiste sur la nécessité de revoir la mise en oeuvre des règles d’urbanisme. Les services de l’Etat doivent s’impliquer dans l’appui aux collectivités responsables de l’élaboration de plans communaux de sauvegarde.
Enfin, les bonnes pratiques identifiées dans chaque territoire doivent être partagées entre les DROM par la mise en place d’un réseau d’échanges techniques. De façon générale, il apparaît nécessaire qu’une réflexion soit engagée avec les autorités compétentes de chacun des territoires pour déterminer comment et par quel acteur les différentes action peuvent être engagées.
Elle propose plusieurs modes de mise en oeuvre selon les spécificités des différentes collectivités d’Outre-Mer. La mission note enfin la montée en puissance des thématiques de prévention et de gestion des submersions rapides dans les DROM comme dans les autres collectivités ultra-marines, qu’il s’agisse de l’approbation du premier PGRI national à la Réunion, de la mise en place des semaines "Réplik" à la Martinique ou des projets présentés à la mission sur Saint-Martin. Il s’agit d’une évolution positive qu’il convient d’encourager et d’accompagner de façon résolue.
CGEDD - Rapport n° 009151-02 - 2016-02-19
Sur les aspects techniques, la mission formule diverses recommandations visant à prioriser le système d’alerte aux populations, à accélérer le rattrapage en matière de veille hydrologique. Elle insiste sur la nécessité de revoir la mise en oeuvre des règles d’urbanisme. Les services de l’Etat doivent s’impliquer dans l’appui aux collectivités responsables de l’élaboration de plans communaux de sauvegarde.
Enfin, les bonnes pratiques identifiées dans chaque territoire doivent être partagées entre les DROM par la mise en place d’un réseau d’échanges techniques. De façon générale, il apparaît nécessaire qu’une réflexion soit engagée avec les autorités compétentes de chacun des territoires pour déterminer comment et par quel acteur les différentes action peuvent être engagées.
Elle propose plusieurs modes de mise en oeuvre selon les spécificités des différentes collectivités d’Outre-Mer. La mission note enfin la montée en puissance des thématiques de prévention et de gestion des submersions rapides dans les DROM comme dans les autres collectivités ultra-marines, qu’il s’agisse de l’approbation du premier PGRI national à la Réunion, de la mise en place des semaines "Réplik" à la Martinique ou des projets présentés à la mission sur Saint-Martin. Il s’agit d’une évolution positive qu’il convient d’encourager et d’accompagner de façon résolue.
CGEDD - Rapport n° 009151-02 - 2016-02-19
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