Le 20 juillet 2021, 5 Rapporteurs Spéciaux aux droits humains, dont le Rapporteur Spécial aux droits à l’eau et à l’assainissement, Pedro Arrojo-Agudo, ont interpellé l’Etat français sur les coupures en eau potable en Guadeloupe et leurs impacts négatifs sur le droit humain à l’eau potable de la population et sur plusieurs droits fondamentaux connexes, dont le droit à la santé.
5 violations des droits humains sont ici pointées du doigt : violation des droits à l’eau et à l’assainissement, violation du droit à un environnement sain, violation du droit à l’éducation, violation du droit à un logement décent, violation du droit à une protection égale devant la loi, à l’accès à la justice et à des voies de recours efficaces.
Au-delà des impacts socioéconomiques de ces coupures d’eau, les impacts sur les institutions publiques, les services de santé (coupures d’eau dans les hôpitaux, avec trace de matières fécales dans l’eau du robinet) et d’éducation (fermeture d’écoles lors des coupures d’eau) sont immenses.
Le prix de ce service défaillant est lui aussi problématique
Ces fortes disparités entre la Guadeloupe et la métropole questionnent la mise en œuvre effective de la loi de programmation relative à l’égalité réelle outre-mer et l’élaboration de politiques efficaces contre la pauvreté.
La Coalition Eau, en tant que mouvement des ONG françaises engagées pour les droits humains à l’eau et à l’assainissement, s’associe à cette interpellation des Rapporteurs Spéciaux ainsi qu’aux collectifs d’usagers guadeloupéens qui se mobilisent pour faire respecter leurs droits humains à l’eau et à l’assainissement, à la dignité, à l’éducation, à la santé.
Coalition Eau >> Communiqué complet
5 violations des droits humains sont ici pointées du doigt : violation des droits à l’eau et à l’assainissement, violation du droit à un environnement sain, violation du droit à l’éducation, violation du droit à un logement décent, violation du droit à une protection égale devant la loi, à l’accès à la justice et à des voies de recours efficaces.
Au-delà des impacts socioéconomiques de ces coupures d’eau, les impacts sur les institutions publiques, les services de santé (coupures d’eau dans les hôpitaux, avec trace de matières fécales dans l’eau du robinet) et d’éducation (fermeture d’écoles lors des coupures d’eau) sont immenses.
Le prix de ce service défaillant est lui aussi problématique
Ces fortes disparités entre la Guadeloupe et la métropole questionnent la mise en œuvre effective de la loi de programmation relative à l’égalité réelle outre-mer et l’élaboration de politiques efficaces contre la pauvreté.
La Coalition Eau, en tant que mouvement des ONG françaises engagées pour les droits humains à l’eau et à l’assainissement, s’associe à cette interpellation des Rapporteurs Spéciaux ainsi qu’aux collectifs d’usagers guadeloupéens qui se mobilisent pour faire respecter leurs droits humains à l’eau et à l’assainissement, à la dignité, à l’éducation, à la santé.
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