Une majorité absolue de participants dans 20 pays se sentent exclus, même si on constate d'importantes différences nationales allant jusqu'à 66 points. Sans surprise, les taux sont très élevés dans les pays fortement touchés par la crise. Cependant, pour l'ensemble du territoire européen, peu de jeunes (15%) se sentent réellement contraints de quitter leur pays à cause de la crise, mais, une fois de plus, les résultats sont très disparates.
61% des jeunes en Europe ne veulent pas étudier, suivre une formation ou travailler dans un autre État membre de l'UE, alors que 32% le souhaitent. En fait, dans l'ensemble de l'UE, 88% des jeunes âgés de 16 à 30 ans n'ont jamais voyagé dans un autre pays de l'UE pour étudier ou travailler.
Pour 90% des participants, il est important de connaître l'UE et le fonctionnement de ses institutions et plus de la moitié (51%) ont répondu que voter lors des élections européennes était le meilleur moyen de participer réellement à la vie publique dans l'UE.
Parmi les jeunes Européens qui sont très actifs sur les réseaux sociaux, une majorité relative (46%) estime que ces réseaux représentent un "progrès pour la démocratie, car ils permettent à tous de participer au débat public". 27% des participants pensent en revanche que les réseaux sociaux constituent "un risque pour la démocratie en raison de l'utilisation inappropriée qu'ils font des données à caractère personnel".
Eurobaromètre - 2016-05-13
61% des jeunes en Europe ne veulent pas étudier, suivre une formation ou travailler dans un autre État membre de l'UE, alors que 32% le souhaitent. En fait, dans l'ensemble de l'UE, 88% des jeunes âgés de 16 à 30 ans n'ont jamais voyagé dans un autre pays de l'UE pour étudier ou travailler.
Pour 90% des participants, il est important de connaître l'UE et le fonctionnement de ses institutions et plus de la moitié (51%) ont répondu que voter lors des élections européennes était le meilleur moyen de participer réellement à la vie publique dans l'UE.
Parmi les jeunes Européens qui sont très actifs sur les réseaux sociaux, une majorité relative (46%) estime que ces réseaux représentent un "progrès pour la démocratie, car ils permettent à tous de participer au débat public". 27% des participants pensent en revanche que les réseaux sociaux constituent "un risque pour la démocratie en raison de l'utilisation inappropriée qu'ils font des données à caractère personnel".
Eurobaromètre - 2016-05-13