En cognition humaine, la capacité de prise de décision repose sur une « valeur » que la personne va attribuer de manière subjective à différents choix possibles pour sélectionner celui qui lui paraît le plus « optimal ».
Cette évaluation découlerait notamment du contexte situationnel dans lequel la mémoire a « fixé » (ou « encodé ») les expériences de choix antérieurs.
Une équipe de recherche de l’Inserm et de l’ENS-PSL, en collaboration avec des équipes internationales, a soumis à des tests de prise de décision des participants de 11 pays très différents culturellement.
Elle a ainsi pu mettre en évidence que cette dépendance au contexte pourrait avoir un aspect « universel » entre les cultures.
Ses travaux, parus dans Nature Human Behaviour, proposent de nouvelles clés pour comprendre les mécanismes cognitifs derrière la prise de décision.
Source - INSERM
Cette évaluation découlerait notamment du contexte situationnel dans lequel la mémoire a « fixé » (ou « encodé ») les expériences de choix antérieurs.
Une équipe de recherche de l’Inserm et de l’ENS-PSL, en collaboration avec des équipes internationales, a soumis à des tests de prise de décision des participants de 11 pays très différents culturellement.
Elle a ainsi pu mettre en évidence que cette dépendance au contexte pourrait avoir un aspect « universel » entre les cultures.
Ses travaux, parus dans Nature Human Behaviour, proposent de nouvelles clés pour comprendre les mécanismes cognitifs derrière la prise de décision.
Source - INSERM