Ce mercredi 21 juillet, les députés Yannick Kerlogot (LREM) et Christophe Euzet (Agir, ex-LREM) ont remis à Jean Castex leur rapport de mission sur l’enseignement des langues régionales. Les députés entendent rassurer les acteurs à la suite de la décision du Conseil constitutionnel de censurer l’article de la loi Molac sur l’enseignement immersif. Mais, pour les sénateurs, le compte n’y est toujours pas.
«On sort de Matignon très confiants. Jean Castex nous a assuré qu’il entendait réunir les différents acteurs à la rentrée». Le député Yannick Kerlogot (LREM), corapporteur de la mission sur l’enseignement des langues régionales, est convaincu d’avoir été entendu par le gouvernement. Sur la table du Premier ministre, un rapport de 70 pages, qui préconise notamment la création d’un «conseil national de l’enseignement des langues régionales», placé sous la houlette du ministre de l’Éducation nationale, et la rédaction d’un projet de loi pour définir les contours de l’enseignement immersif. «L’enjeu était de rassurer les acteurs sur le terrain, explique Yannick Kerlogot à Public Sénat. Le Conseil constitutionnel était dans une logique de dire le droit. Le message qu’on a tenu à relayer est le suivant : il n’y aura pas de fermeture de classes à la rentrée !»
Au sommaire de l’article
- Des sénateurs circonspects
- La délicate question constitutionnelle
Public Sénat >> Article complet
Rapport enseignement des langues régionales
«On sort de Matignon très confiants. Jean Castex nous a assuré qu’il entendait réunir les différents acteurs à la rentrée». Le député Yannick Kerlogot (LREM), corapporteur de la mission sur l’enseignement des langues régionales, est convaincu d’avoir été entendu par le gouvernement. Sur la table du Premier ministre, un rapport de 70 pages, qui préconise notamment la création d’un «conseil national de l’enseignement des langues régionales», placé sous la houlette du ministre de l’Éducation nationale, et la rédaction d’un projet de loi pour définir les contours de l’enseignement immersif. «L’enjeu était de rassurer les acteurs sur le terrain, explique Yannick Kerlogot à Public Sénat. Le Conseil constitutionnel était dans une logique de dire le droit. Le message qu’on a tenu à relayer est le suivant : il n’y aura pas de fermeture de classes à la rentrée !»
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