Elle distingue trois types de villes dans les modalités de construction de la stratégie locale et présente les différents modes d’organisation choisis pour conduire la démarche.
En premier lieu, le rapport dresse un état des lieux des conceptions et des enjeux de la ville intelligente. La majorité des collectivités ont axé leur démarche sur un renforcement du partenariat avec les acteurs locaux, et ont choisi de tester des solutions innovantes en conditions réelles sur leur territoire. Elles s’engagent dans une politique numérique globale dépassant la gestion urbaine en incluant une dimension sociale, culturelle ou éducative.
Deux objectifs principaux sont identifiés : la ville intelligente semble être porteuse de développement économique local et permet d’optimiser les réseaux urbains pour améliorer la qualité de vie des usagers du territoire (habitants, travailleurs, entreprises, touristes).
D’autre part, Fanny Bertossi présente un état des lieux de la situation des collectivités auditionnées. Elles entrent dans trois catégories : les villes pionnières qui ont une approche technique du projet, en phase de réorientation, les villes "smart", qui consolident leur démarche, et les villes nouvellement engagées, dont le projet est souvent porté par une personnalité politique "moteur".
La gouvernance de leur démarche est soutenue par un portage politique fort, une organisation en mode projet, en direction déléguée ou via une structure indépendante et transversale. Le partenariat local s’organise essentiellement autour de structures de participation citoyenne, et surtout de structures de soutien à l’innovation.
Enfin, le rapport zoome sur les enjeux et défis encore à relever : l’évolution du cadre juridique et administratif pour répondre aux ambitions de la ville intelligente, l’ouverture du mode de financement, encore fortement empreint d’une dimension nationale ou européenne, la transition culturelle des usagers et la nécessité de visibilité, dans le cadre d’échanges d’informations et de bonnes pratiques.
ANT/CGDD - 2016-03-29
En premier lieu, le rapport dresse un état des lieux des conceptions et des enjeux de la ville intelligente. La majorité des collectivités ont axé leur démarche sur un renforcement du partenariat avec les acteurs locaux, et ont choisi de tester des solutions innovantes en conditions réelles sur leur territoire. Elles s’engagent dans une politique numérique globale dépassant la gestion urbaine en incluant une dimension sociale, culturelle ou éducative.
Deux objectifs principaux sont identifiés : la ville intelligente semble être porteuse de développement économique local et permet d’optimiser les réseaux urbains pour améliorer la qualité de vie des usagers du territoire (habitants, travailleurs, entreprises, touristes).
D’autre part, Fanny Bertossi présente un état des lieux de la situation des collectivités auditionnées. Elles entrent dans trois catégories : les villes pionnières qui ont une approche technique du projet, en phase de réorientation, les villes "smart", qui consolident leur démarche, et les villes nouvellement engagées, dont le projet est souvent porté par une personnalité politique "moteur".
La gouvernance de leur démarche est soutenue par un portage politique fort, une organisation en mode projet, en direction déléguée ou via une structure indépendante et transversale. Le partenariat local s’organise essentiellement autour de structures de participation citoyenne, et surtout de structures de soutien à l’innovation.
Enfin, le rapport zoome sur les enjeux et défis encore à relever : l’évolution du cadre juridique et administratif pour répondre aux ambitions de la ville intelligente, l’ouverture du mode de financement, encore fortement empreint d’une dimension nationale ou européenne, la transition culturelle des usagers et la nécessité de visibilité, dans le cadre d’échanges d’informations et de bonnes pratiques.
ANT/CGDD - 2016-03-29