La transition vers la durabilité est une œuvre collective qui doit mobiliser tous les maillons de la chaîne alimentaire, depuis le consommateur jusqu’à l’agriculteur et réciproquement. Elle doit garder le cap de la souveraineté alimentaire, dont la dimension stratégique a été révélée par les crises sanitaires et géopolitiques.
De multiples initiatives, publiques et privées, sont prises en France pour réduire l’empreinte carbone des systèmes alimentaires, action prioritaire si l’on veut atteindre les objectifs fixés par l’Union européenne eux-mêmes dictés par l’Accord de Paris.
La dimension environnementale ne doit cependant pas éclipser les deux autres volets de la durabilité, économique et social. Sans une bonne combinaison des trois, il ne peut y avoir de transition juste donc efficace.
L’adaptation de nos régimes alimentaires est nécessaire et doit être fortement encouragée, y compris par des mesures contraignantes sur la fiscalité ou la publicité. Elle ne sera pas seulement bonne pour notre santé et par conséquent pour la société, elle sera aussi bénéfique pour la planète.
Le maître mot est « équilibre », qu’il s’agisse de la consommation de viande, de produits transformés ou innovants, d’aliments sucrés, gras ou salés.
L’analyse de données et le développement d’outils numériques peuvent aider le consommateur à optimiser son régime alimentaire. Une attention particulière doit être portée aux populations fragiles confrontées à la précarité alimentaire
Dans la perspective d’une possible future législation de l’UE, le CGAAER a été chargé d’identifier et d’analyser les critères de durabilité, et les leviers d’actions aux niveaux de la demande (distribution, consommation) et de l’offre (production, transformation) pour assurer la transition vers des systèmes alimentaires durables, en considérant les dimensions nationale, européenne et internationale..
CGAAER - Rapport n°23034-P
De multiples initiatives, publiques et privées, sont prises en France pour réduire l’empreinte carbone des systèmes alimentaires, action prioritaire si l’on veut atteindre les objectifs fixés par l’Union européenne eux-mêmes dictés par l’Accord de Paris.
La dimension environnementale ne doit cependant pas éclipser les deux autres volets de la durabilité, économique et social. Sans une bonne combinaison des trois, il ne peut y avoir de transition juste donc efficace.
L’adaptation de nos régimes alimentaires est nécessaire et doit être fortement encouragée, y compris par des mesures contraignantes sur la fiscalité ou la publicité. Elle ne sera pas seulement bonne pour notre santé et par conséquent pour la société, elle sera aussi bénéfique pour la planète.
Le maître mot est « équilibre », qu’il s’agisse de la consommation de viande, de produits transformés ou innovants, d’aliments sucrés, gras ou salés.
L’analyse de données et le développement d’outils numériques peuvent aider le consommateur à optimiser son régime alimentaire. Une attention particulière doit être portée aux populations fragiles confrontées à la précarité alimentaire
Dans la perspective d’une possible future législation de l’UE, le CGAAER a été chargé d’identifier et d’analyser les critères de durabilité, et les leviers d’actions aux niveaux de la demande (distribution, consommation) et de l’offre (production, transformation) pour assurer la transition vers des systèmes alimentaires durables, en considérant les dimensions nationale, européenne et internationale..
CGAAER - Rapport n°23034-P
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