Le développement des énergies renouvelables (EnR) est un des moyens les plus importants pour sortir de l'utilisation des énergies fossiles, cause majeure du changement climatique. Le développement de ces énergies permet également d'implanter la production d'énergie sur le territoire alors que le pays souffre d'une dépendance énergétique importante vis-à-vis des importations : pétrole, gaz naturel et uranium.
La France s'est ainsi engagée à ce que 32% de l'énergie consommée en France et 40% de l'électricité produite soit d'origine renouvelable en 2030, dans le but d'atteindre, en 2050, la neutralité carbone. Cependant les énergies renouvelables présentent des impacts environnementaux, notamment sur les sols.
Cette étude vise à évaluer les surfaces nécessaires au développement des productions d'énergies renouvelables.
Sur la base de la littérature et d'analyses de projets, elle propose des références surfaciques à la puissance installée ou à l'énergie produite, et les utilise pour évaluer les surfaces nécessaires à l'atteinte de la neutralité carbone à 2050 selon les scénarios proposés par l'ADEME dans Transition(s) 2050 (ADEME, 2021).
Elle distingue des indicateurs liés au besoin de foncier, aux concurrences d'usage et à l'imperméabilisation des sols afin de préciser les enjeux par filières.
ADEME >> Etude complète
L’Office français de la biodiversité dévoile 80 leviers d’actions pour une meilleure intégration de la biodiversité dans les projets d’énergies renouvelables (Article ID.CiTé/ID.Veille du 31/07/2023 )
OFB >> Communiqué complet
La France s'est ainsi engagée à ce que 32% de l'énergie consommée en France et 40% de l'électricité produite soit d'origine renouvelable en 2030, dans le but d'atteindre, en 2050, la neutralité carbone. Cependant les énergies renouvelables présentent des impacts environnementaux, notamment sur les sols.
Cette étude vise à évaluer les surfaces nécessaires au développement des productions d'énergies renouvelables.
Sur la base de la littérature et d'analyses de projets, elle propose des références surfaciques à la puissance installée ou à l'énergie produite, et les utilise pour évaluer les surfaces nécessaires à l'atteinte de la neutralité carbone à 2050 selon les scénarios proposés par l'ADEME dans Transition(s) 2050 (ADEME, 2021).
Elle distingue des indicateurs liés au besoin de foncier, aux concurrences d'usage et à l'imperméabilisation des sols afin de préciser les enjeux par filières.
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L’Office français de la biodiversité dévoile 80 leviers d’actions pour une meilleure intégration de la biodiversité dans les projets d’énergies renouvelables (Article ID.CiTé/ID.Veille du 31/07/2023 )
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