Si le secteur des transports est le plus gros consommateur d’énergie, le transport collectif de voyageurs ne représente que 4,8% de la consommation énergétique finale du secteur, tandis que le fret ferroviaire consomme 6 fois moins d’énergie que le transport routier de marchandises.
Les acteurs des transports urbains et ferroviaires poursuivent leurs efforts au quotidien pour continuer à réduire leur impact environnemental et leurs consommations d'énergie à chaque étape de leur activité, et ce guide sectoriel en est la preuve.
Il recense de nombreuses bonnes pratiques mises en place par les opérateurs, quelques exemples :
- Inciter les voyageurs au report modal, en agissant sur la promotion des modes collectifs, car un bus transporte l’équivalent de 36 voitures.
- Généraliser la suppression de l'alimentation électrique des trains en stationnement long, qui permet de diminuer de consommation d'énergie de 10%.
- Former les personnels, notamment pour encourager l’éco-conduite, qui permet de réduire la consommation d’énergie des autobus de 10%.
- Exploiter les innovations technologiques, en améliorant les rendements des moteurs, ou en récupérant l’énergie de freinage des métros et tramways, ce qui permet de réinjecter jusqu’à 80% de l’électricité dans un réseau.
- Mieux maîtriser sa consommation, en remplaçant, par exemple, les lampes dans les gares et stations par des ampoules à LED, ce qui permet de réduire de 30% sa consommation électrique, ou en récupérant l’eau de lavage des bus qui permet de consommer 13 fois moins d'eau qu'un système de lavage classique.
- Adapter sa production, en privilégiant, par exemple, la circulation de trains de fret la nuit, au moment où le réseau est le moins sollicité.
UTP >> Le guide
Les acteurs des transports urbains et ferroviaires poursuivent leurs efforts au quotidien pour continuer à réduire leur impact environnemental et leurs consommations d'énergie à chaque étape de leur activité, et ce guide sectoriel en est la preuve.
Il recense de nombreuses bonnes pratiques mises en place par les opérateurs, quelques exemples :
- Inciter les voyageurs au report modal, en agissant sur la promotion des modes collectifs, car un bus transporte l’équivalent de 36 voitures.
- Généraliser la suppression de l'alimentation électrique des trains en stationnement long, qui permet de diminuer de consommation d'énergie de 10%.
- Former les personnels, notamment pour encourager l’éco-conduite, qui permet de réduire la consommation d’énergie des autobus de 10%.
- Exploiter les innovations technologiques, en améliorant les rendements des moteurs, ou en récupérant l’énergie de freinage des métros et tramways, ce qui permet de réinjecter jusqu’à 80% de l’électricité dans un réseau.
- Mieux maîtriser sa consommation, en remplaçant, par exemple, les lampes dans les gares et stations par des ampoules à LED, ce qui permet de réduire de 30% sa consommation électrique, ou en récupérant l’eau de lavage des bus qui permet de consommer 13 fois moins d'eau qu'un système de lavage classique.
- Adapter sa production, en privilégiant, par exemple, la circulation de trains de fret la nuit, au moment où le réseau est le moins sollicité.
UTP >> Le guide
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