Mais cela reste insuffisant… Pour caractériser plus finement ces enjeux (exposition, aménagements, etc.) et aider les services opérationnels, des indicateurs de vulnérabilité s’imposent. Un modèle multicritères a été développé pour produire un outil d'aide à la décision de gestion des interfaces, s'adressant tant aux résidents qu'aux aménageurs.
Aujourd’hui, des cartes d'enjeux sont réalisées représentant leur distribution spatiale sur le territoire. "Le souci de cette approche est qu'avec l'extension des interfaces habitat-forêt, on observe une uniformisation de ces carte des enjeux sur une grande partie des territoires communaux, en bordure des massifs, alors que la vulnérabilité réelle des enjeux dépend fortement du contexte géographique local", explique Eric Maillé, chercheur au centre Irstea d’Aix-en-Provence, spécialisé en modélisation du risque et de sa dynamique.
Il est alors nécessaire de hiérarchiser, de quantifier et de qualifier ces enjeux à l’aide d’indicateurs, afin de produire des cartes discriminant les zones de plus forte vulnérabilité pour aider les services opérationnels de gestion et de lutte contre l'incendie.
IRSTEA - 2016-07-06
Aujourd’hui, des cartes d'enjeux sont réalisées représentant leur distribution spatiale sur le territoire. "Le souci de cette approche est qu'avec l'extension des interfaces habitat-forêt, on observe une uniformisation de ces carte des enjeux sur une grande partie des territoires communaux, en bordure des massifs, alors que la vulnérabilité réelle des enjeux dépend fortement du contexte géographique local", explique Eric Maillé, chercheur au centre Irstea d’Aix-en-Provence, spécialisé en modélisation du risque et de sa dynamique.
Il est alors nécessaire de hiérarchiser, de quantifier et de qualifier ces enjeux à l’aide d’indicateurs, afin de produire des cartes discriminant les zones de plus forte vulnérabilité pour aider les services opérationnels de gestion et de lutte contre l'incendie.
IRSTEA - 2016-07-06