En dépit de nombreux travaux parlementaires sur la décentralisation, le système de gouvernance des Établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) peine encore à convaincre. Alors que les nombreux transferts de compétences font de l’EPCI un acteur majeur de l’action locale, cette note invite à repenser leur gouvernance en faisant de la transparence un outil au service d’une confiance réciproque et de relations reconsidérées.
À la lecture d’un récent sondage de l’IFOP, il apparaît que les Français perçoivent très largement l’intercommunalité comme une bonne chose (85%), notamment parce que son action sur la commune est jugée particulièrement efficace (85%). Dans le même temps cependant, seuls 75% des Français savent que leur commune appartient à un EPCI, 68% en connaissent la dénomination, et 43% le nom du président.
Si ces chiffres ne sont pas sans soulever interrogations et critiques, il n’en demeure pas moins qu’ils ne peuvent être objectivement analysés sans oblitérer l’aspect normatif particulièrement évolutif, et trop souvent fluctuant, de l’échelle intercommunale.
Observatoire de l’Ethique publique Note complète
À la lecture d’un récent sondage de l’IFOP, il apparaît que les Français perçoivent très largement l’intercommunalité comme une bonne chose (85%), notamment parce que son action sur la commune est jugée particulièrement efficace (85%). Dans le même temps cependant, seuls 75% des Français savent que leur commune appartient à un EPCI, 68% en connaissent la dénomination, et 43% le nom du président.
Si ces chiffres ne sont pas sans soulever interrogations et critiques, il n’en demeure pas moins qu’ils ne peuvent être objectivement analysés sans oblitérer l’aspect normatif particulièrement évolutif, et trop souvent fluctuant, de l’échelle intercommunale.
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