La France dispose d’atouts maritimes indiscutables : jouissant de deux façades maritimes en Europe et de la deuxième zone économique exclusive (ZEE) derrière les États-Unis, grâce principalement à ses territoires ultramarins, elle se situe au centre des échanges en Europe et au carrefour des grandes routes maritimes mondiales.
Dans un système mondialisé qui redistribue les cartes, les routes des échanges et les chemins de la prospérité, les ports ultramarins français doivent conforter leur attractivité pour répondre à la concurrence féroce des ports étrangers et devenir de vrais relais de croissance pour la France mais aussi pour l’Union européenne.
Dans son avis, la délégation à l’Outre-mer du CESE formule un ensemble de préconisations concrètes afin d’envisager une organisation portuaire ultramarine plus efficace, structurée et compétitive au service de la population et du développement durable des territoires.
1) conforter la gouvernance des ports ultramarins :
2) conforter les installations portuaires :
3) dynamiser le développement des outre-mer grâce à leurs ports
4) renforcer la coopération régionale des ports ultramarins
Les préconisations du CESE recouvrent cinq piliers stratégiques qui devront nourrir les ambitions de l’État et des territoires ultramarins en matière portuaire :
- Améliorer la compétitivité des places portuaires et fluidifier le passage des marchandises et des passagers ;
- Maintenir des dessertes satisfaisantes des Outre-mer dans un contexted’évolution radicale des schémas maritimes par un positionnement adapté de leurs ports ;
- Adapter les ports aux mutations du transport maritime en développant les infrastructures et les services portuaires, en limitant les impacts environnementaux et en favorisant l’approche écosystémique et intégrée des espaces marins et littoraux concernés ;
- Intégrer les ports dans leur environnement régional par un soutien au développement économique et maritime des Outre-mer ;
- Promouvoir un dialogue social efficient et renforcer la gouvernance pour une meilleure synergie entre les différents acteurs.
CESE - 2015-10-16
Dans un système mondialisé qui redistribue les cartes, les routes des échanges et les chemins de la prospérité, les ports ultramarins français doivent conforter leur attractivité pour répondre à la concurrence féroce des ports étrangers et devenir de vrais relais de croissance pour la France mais aussi pour l’Union européenne.
Dans son avis, la délégation à l’Outre-mer du CESE formule un ensemble de préconisations concrètes afin d’envisager une organisation portuaire ultramarine plus efficace, structurée et compétitive au service de la population et du développement durable des territoires.
1) conforter la gouvernance des ports ultramarins :
2) conforter les installations portuaires :
3) dynamiser le développement des outre-mer grâce à leurs ports
4) renforcer la coopération régionale des ports ultramarins
Les préconisations du CESE recouvrent cinq piliers stratégiques qui devront nourrir les ambitions de l’État et des territoires ultramarins en matière portuaire :
- Améliorer la compétitivité des places portuaires et fluidifier le passage des marchandises et des passagers ;
- Maintenir des dessertes satisfaisantes des Outre-mer dans un contexted’évolution radicale des schémas maritimes par un positionnement adapté de leurs ports ;
- Adapter les ports aux mutations du transport maritime en développant les infrastructures et les services portuaires, en limitant les impacts environnementaux et en favorisant l’approche écosystémique et intégrée des espaces marins et littoraux concernés ;
- Intégrer les ports dans leur environnement régional par un soutien au développement économique et maritime des Outre-mer ;
- Promouvoir un dialogue social efficient et renforcer la gouvernance pour une meilleure synergie entre les différents acteurs.
CESE - 2015-10-16