En novembre 2018, 1,3 million de familles bénéficiaient d’au moins un dispositif de conciliation entre vie familiale et professionnelle pour leurs enfants de moins de 3 ans et 1,2 million n’en avaient aucun.
Parmi celles recourant à un dispositif, 636 400 familles avaient un enfant accueilli chez une assistante maternelle ou en garde à domicile au moins une heure sur le mois, 548 900 avaient un enfant qui fréquentait une crèche au moins une heure dans le mois, et 259 200 avaient réduit ou cessé leur activité pour s’en occuper.
Les familles actives ayant un emploi sont celles qui ont le plus souvent recours aux dispositifs de conciliation pour leurs enfants.
Au sein des crèches, les parents qui exercent une activité professionnelle sont sur-représentés par rapport à l’ensemble des familles allocataires ayant au moins un enfant de moins de 3 ans (58 % sont des couples bi-actifs en crèche contre 46 % de l’ensemble).
Les familles monoparentales et les familles sous le seuil de pauvreté font moins appel aux dispositifs que l’ensemble des familles allocataires. Quand elles y recourent, leur choix se porte plus sur l’accueil collectif que pour l’accueil individuel.
CNAF >> L’Essentiel n° 199
Parmi celles recourant à un dispositif, 636 400 familles avaient un enfant accueilli chez une assistante maternelle ou en garde à domicile au moins une heure sur le mois, 548 900 avaient un enfant qui fréquentait une crèche au moins une heure dans le mois, et 259 200 avaient réduit ou cessé leur activité pour s’en occuper.
Les familles actives ayant un emploi sont celles qui ont le plus souvent recours aux dispositifs de conciliation pour leurs enfants.
Au sein des crèches, les parents qui exercent une activité professionnelle sont sur-représentés par rapport à l’ensemble des familles allocataires ayant au moins un enfant de moins de 3 ans (58 % sont des couples bi-actifs en crèche contre 46 % de l’ensemble).
Les familles monoparentales et les familles sous le seuil de pauvreté font moins appel aux dispositifs que l’ensemble des familles allocataires. Quand elles y recourent, leur choix se porte plus sur l’accueil collectif que pour l’accueil individuel.
CNAF >> L’Essentiel n° 199