Le Réseau express régional (RER) s’est progressivement développé depuis les années 70, constituant un tournant dans l’offre de transport en Île-de-France. Par l’ampleur de leurs conséquences sur les voyageurs, la fiabilité, la fréquence et l’information voyageur, constituent les enjeux clés de ce réseau.
Les cinq lignes du RER sont exploitées par SNCF Voyageurs et RATP, de manière partagée pour les lignes A et B, en totalité par SNCF Voyageurs pour les lignes C, D et E. Elles constituent un exemple caractéristique du « mass transit », notamment les lignes A et B, qui sont aux premier et deuxième rangs en Europe en termes de fréquentation - avec chacune plus d’un million de voyageurs quotidiens. Le RER permet des flux de déplacements moyennant un débit remarquable et un coût, pour les usagers, relativement mesuré.
Au sommaire :
- Les défis de la qualité de service sur un réseau fragile et saturé et l’enjeu du report modal et de la décarbonation des mobilités franciliennes
- Les critères pour la prise en compte de l’opinion des usagers gagneraient à être revus, au vu des performances peu satisfaisantes
- De nouvelles modalités d’intéressement présentées comme plus incitatives, aux effets limités sur le niveau de qualité de service
- Un effort de renouvellement du matériel roulant mais des investissements insuffisants sur les infrastructures ainsi qu’une organisation peu propice à une stratégie qualitative
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Les cinq lignes du RER sont exploitées par SNCF Voyageurs et RATP, de manière partagée pour les lignes A et B, en totalité par SNCF Voyageurs pour les lignes C, D et E. Elles constituent un exemple caractéristique du « mass transit », notamment les lignes A et B, qui sont aux premier et deuxième rangs en Europe en termes de fréquentation - avec chacune plus d’un million de voyageurs quotidiens. Le RER permet des flux de déplacements moyennant un débit remarquable et un coût, pour les usagers, relativement mesuré.
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- Les défis de la qualité de service sur un réseau fragile et saturé et l’enjeu du report modal et de la décarbonation des mobilités franciliennes
- Les critères pour la prise en compte de l’opinion des usagers gagneraient à être revus, au vu des performances peu satisfaisantes
- De nouvelles modalités d’intéressement présentées comme plus incitatives, aux effets limités sur le niveau de qualité de service
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