Dans les pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), 13 % environ des enfants et adolescents présentent au moins un trouble psychique, c’est-à-dire une affection perturbant la santé mentale et pouvant prendre des formes et des expressions très différentes. Bien que le manque de données concernant la situation française rende difficile l’estimation des effectifs concernés, on peut néanmoins estimer qu’environ 1,6 million d’enfants et adolescents souffrent d’un trouble psychique.
Comme dans les autres pays de l’OCDE, l’épidémie de covid 19 a eu pour effet d’augmenter dans des proportions importantes les troubles psychiques chez les enfants à partir de 10 ans et chez les adolescents. Le rapport publié ce jour par la Cour des comptes vise à quantifier les besoins de soins psychiques infanto-juvéniles en évaluant la prévalence des troubles et l’offre disponible, et à analyser l’organisation de l’offre de soins, sa répartition sur le territoire et son coût pour les finances publiques.
Au sommaire
- Une offre de soins psychiques inadaptée aux besoins de la jeunesse
- Un parcours de soins trop peu gradué et une offre saturée
- Une volonté claire d’améliorer l’organisation de l’offre de soins psychiques infanto-juvéniles, mais une gouvernance peu opérationnelle
- La nécessité de renforcer l’attractivité des métiers de soins infanto-juvéniles
Cour des comptes >> Le rapport complet
Comme dans les autres pays de l’OCDE, l’épidémie de covid 19 a eu pour effet d’augmenter dans des proportions importantes les troubles psychiques chez les enfants à partir de 10 ans et chez les adolescents. Le rapport publié ce jour par la Cour des comptes vise à quantifier les besoins de soins psychiques infanto-juvéniles en évaluant la prévalence des troubles et l’offre disponible, et à analyser l’organisation de l’offre de soins, sa répartition sur le territoire et son coût pour les finances publiques.
Au sommaire
- Une offre de soins psychiques inadaptée aux besoins de la jeunesse
- Un parcours de soins trop peu gradué et une offre saturée
- Une volonté claire d’améliorer l’organisation de l’offre de soins psychiques infanto-juvéniles, mais une gouvernance peu opérationnelle
- La nécessité de renforcer l’attractivité des métiers de soins infanto-juvéniles
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