Dans le contexte de crise sanitaire, de changement climatique et de dégradation des conditions environnementales, la nature apparaît plus que jamais comme déterminante pour le devenir des territoires, en particulier ruraux tant dans leur vie que pour leur activité productive. De fait, les ruralités disposent d’aménités environnementales spécifiques (biodiversité, paysages, sols perméables…) qui constituent autant de richesses à valoriser comme en témoigne cette Fabrique Prospective.
Comme le soulignait le rapport de la mission Ruralités « 200 propositions pour un agenda rural » remis en juillet 2019 au Gouvernement, les ruralités disposent d’aménités environnementales spécifiques qui constituent autant de richesses à valoriser. La nature assure en effet dans les territoires ruraux des fonctions productives (alimentation, eau, bois, etc.), culturelles (esthétiques, spirituelles, éducatives, récréatives, etc.), sociales et de régulation (climat, îlots de fraîcheur, maîtrise des inondations, épuration des eaux, qualité de l’air, etc.). L’ensemble de ces fonctions et de leurs apports au fonctionnement des territoires et au bien-être des habitants ont été particulièrement mises en lumière par la crise de la Covid-19. Plus encore, la nature - sa diversité, sa richesse, sa bonne santé et sa mise en valeur - est à la fois un facteur de résilience et d’attractivité des territoires.
Dès 2020, l’Agence nationale de la cohésion des territoires s’est saisie de cet enjeu en lançant, en partenariat avec l’Association des maires de France (AMF), la Direction générale des outremers (DGOM), l’Office français de la biodiversité (OFB) et l’université Jean Moulin Lyon 3, la Fabrique Prospective « La nature comme atout pour l’attractivité et la résilience des territoires ruraux » .
Quatre communes rurales ont travaillé dans ce cadre : Awala-Yalimapo (Guyane), Bard (Loire), Beurey-sur-Saulx (Meuse) et Gornac (Gironde). Avec leur groupe de travail local, chacune a élaboré une feuille de route adaptée à ses spécificités : l’adaptation aux risques littoraux à Awala-Yalimapo, le développement de la résilience agricole à Bard, l’articulation entre nature et urbanisme à Beurey-sur-Saulx, et la préservation de la ressource en eau à Gornac.
ANCT >> Le guide
Comme le soulignait le rapport de la mission Ruralités « 200 propositions pour un agenda rural » remis en juillet 2019 au Gouvernement, les ruralités disposent d’aménités environnementales spécifiques qui constituent autant de richesses à valoriser. La nature assure en effet dans les territoires ruraux des fonctions productives (alimentation, eau, bois, etc.), culturelles (esthétiques, spirituelles, éducatives, récréatives, etc.), sociales et de régulation (climat, îlots de fraîcheur, maîtrise des inondations, épuration des eaux, qualité de l’air, etc.). L’ensemble de ces fonctions et de leurs apports au fonctionnement des territoires et au bien-être des habitants ont été particulièrement mises en lumière par la crise de la Covid-19. Plus encore, la nature - sa diversité, sa richesse, sa bonne santé et sa mise en valeur - est à la fois un facteur de résilience et d’attractivité des territoires.
Dès 2020, l’Agence nationale de la cohésion des territoires s’est saisie de cet enjeu en lançant, en partenariat avec l’Association des maires de France (AMF), la Direction générale des outremers (DGOM), l’Office français de la biodiversité (OFB) et l’université Jean Moulin Lyon 3, la Fabrique Prospective « La nature comme atout pour l’attractivité et la résilience des territoires ruraux » .
Quatre communes rurales ont travaillé dans ce cadre : Awala-Yalimapo (Guyane), Bard (Loire), Beurey-sur-Saulx (Meuse) et Gornac (Gironde). Avec leur groupe de travail local, chacune a élaboré une feuille de route adaptée à ses spécificités : l’adaptation aux risques littoraux à Awala-Yalimapo, le développement de la résilience agricole à Bard, l’articulation entre nature et urbanisme à Beurey-sur-Saulx, et la préservation de la ressource en eau à Gornac.
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