De début août 2018 à la fin 2022, environ 7 600 infractions d’outrage sexiste ont été enregistrées en France par la police et la gendarmerie nationales, dont 2 800 en 2022. Ces infractions sont des contraventions, de 4e ou 5e classe.
Il s'agit le plus souvent d'outrages sexistes sans circonstance aggravante (« outrages sexistes portant atteinte à la dignité ou créant une situation intimidante, hostile ou offensante imposée à une personne ») : ils représentent 79 % des contraventions pour outrage sexiste enregistrées en 2022.
Ces infractions enregistrées par les services de sécurité sont davantage commises dans les départements du Loiret, de Paris et plus particulièrement dans les grandes villes
Sur le périmètre restreint de la police nationale, les victimes d’outrages sexistes sont majoritairement des femmes (91 %) et 61 % ont moins de 30 ans. Les auteurs sont quasi-exclusivement des hommes (97 %).
Télécharger les données : IR27_Donnes sur les outrages sexistes
Ministère de l’Intérieur et des Outre-Mer >> Analyse complète
Il s'agit le plus souvent d'outrages sexistes sans circonstance aggravante (« outrages sexistes portant atteinte à la dignité ou créant une situation intimidante, hostile ou offensante imposée à une personne ») : ils représentent 79 % des contraventions pour outrage sexiste enregistrées en 2022.
Ces infractions enregistrées par les services de sécurité sont davantage commises dans les départements du Loiret, de Paris et plus particulièrement dans les grandes villes
Sur le périmètre restreint de la police nationale, les victimes d’outrages sexistes sont majoritairement des femmes (91 %) et 61 % ont moins de 30 ans. Les auteurs sont quasi-exclusivement des hommes (97 %).
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