Cette étude a été réalisée par le Centre de droit et d'économie du sport (CDES) à la demande conjointe du Comité International Olympique et Paris 2024 ; elle intègre les données actualisées transmises par Paris 2024 et la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo) .
L'impact des jeux olympiques selon le scénario intermédiaire
L’étude établit trois scénarii (bas, intermédiaire et haut). Le scénario intermédiaire fait apparaître un impact économique de 9 milliards d’euros (valeur en euros courants) pour le territoire francilien sur la période 2018/2034.
Cet impact se répartit au sein de trois grands secteurs :
- L’impact lié à l’organisation des Jeux, c’est-à-dire des dépenses du Comité d’organisation pour livrer les Jeux, qui compte pour 3,8 milliards d’euros (42%) dans le scénario intermédiaire.
- L’impact lié au tourisme, c’est-à-dire des dépenses des visiteurs qui viendront en Île-de-France pour prendre part aux Jeux, qui s’établit à 2,7 milliards d’euros (30%) et intègre un effet d’éviction.
- L’impact lié aux constructions nécessaires aux Jeux (les investissements réalisés n’étant pas directement nécessaires aux Jeux ont été écartés) qui s’établit à 2,5 milliards d’euros (28%).
Pour consulter l'étude, cliquez ici.
Source CNER
L'impact des jeux olympiques selon le scénario intermédiaire
L’étude établit trois scénarii (bas, intermédiaire et haut). Le scénario intermédiaire fait apparaître un impact économique de 9 milliards d’euros (valeur en euros courants) pour le territoire francilien sur la période 2018/2034.
Cet impact se répartit au sein de trois grands secteurs :
- L’impact lié à l’organisation des Jeux, c’est-à-dire des dépenses du Comité d’organisation pour livrer les Jeux, qui compte pour 3,8 milliards d’euros (42%) dans le scénario intermédiaire.
- L’impact lié au tourisme, c’est-à-dire des dépenses des visiteurs qui viendront en Île-de-France pour prendre part aux Jeux, qui s’établit à 2,7 milliards d’euros (30%) et intègre un effet d’éviction.
- L’impact lié aux constructions nécessaires aux Jeux (les investissements réalisés n’étant pas directement nécessaires aux Jeux ont été écartés) qui s’établit à 2,5 milliards d’euros (28%).
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