L’industrie de la ville représente 10,5 % du PIB et 2,3 millions d’emplois en France. Le panorama, publié ce 4 juillet et auquel l’Ordre a contribué, explore les dimensions économique, environnementale, sociale et sociétale de la filière.
La comparaison entre les résultats généraux de l’enquête et ceux spécifiques aux dirigeants en architecture, urbanisme et aménagement permet de faire plusieurs constats.
Parmi eux :
Les acteurs de l’architecture sont plus moroses quant aux perspectives économiques que les autres acteurs de la filière : en 2024, 44 % ont confiance dans les perspectives économiques des 12 prochains mois, contre 50 % pour la filière dans son ensemble.
Les professionnels de l’architecture sont plus attentifs aux données environnementales que le reste de la filière, particulièrement sur les énergies renouvelables, les matériaux biosourcés, les émissions de CO2, ou encore les certificats et labels. Pour autant, les trajectoires de décarbonation sont moins souvent définies au sein des agences que dans le reste des entreprises du secteur.
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Deux tiers des acteurs de l’architecture et de la filière considèrent l’adaptation au changement climatique comme une priorité, son coût étant identifié comme le principal frein.
La formation continue des architectes est très bonne, bien plus développée que dans le reste de la filière ou dans le reste du pays. 92 % des professionnels de l’architecture déclarent avoir suivi une formation en 2023.
Les dépenses des entreprises d’architecture et d’ingénierie pour l’innovation sont très supérieures à celles du reste de la filière, ce sont ces entreprises qui déterminent les nouvelles techniques utilisées.
Source Ordre des Architectes
Consulter l'étude
La comparaison entre les résultats généraux de l’enquête et ceux spécifiques aux dirigeants en architecture, urbanisme et aménagement permet de faire plusieurs constats.
Parmi eux :
Les acteurs de l’architecture sont plus moroses quant aux perspectives économiques que les autres acteurs de la filière : en 2024, 44 % ont confiance dans les perspectives économiques des 12 prochains mois, contre 50 % pour la filière dans son ensemble.
Les professionnels de l’architecture sont plus attentifs aux données environnementales que le reste de la filière, particulièrement sur les énergies renouvelables, les matériaux biosourcés, les émissions de CO2, ou encore les certificats et labels. Pour autant, les trajectoires de décarbonation sont moins souvent définies au sein des agences que dans le reste des entreprises du secteur.
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Deux tiers des acteurs de l’architecture et de la filière considèrent l’adaptation au changement climatique comme une priorité, son coût étant identifié comme le principal frein.
La formation continue des architectes est très bonne, bien plus développée que dans le reste de la filière ou dans le reste du pays. 92 % des professionnels de l’architecture déclarent avoir suivi une formation en 2023.
Les dépenses des entreprises d’architecture et d’ingénierie pour l’innovation sont très supérieures à celles du reste de la filière, ce sont ces entreprises qui déterminent les nouvelles techniques utilisées.
Source Ordre des Architectes
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