Élaboré et coordonné par la Direction générale des Entreprises (DGE), le baromètre industriel de l’État est un indicateur dont le suivi permet de mesurer de manière semestrielle l’évolution industrielle de la France.
Selon les résultats du baromètre pour le premier semestre de 2024, 36 nouvelles ouvertures et extensions de sites industriels ont été relevées et confirme que la réindustrialisation française se poursuit malgré un ralentissement attendu.
La dynamique de réindustrialisation reste positive d’après le baromètre industriel de l'état
Comparée aux deux années précédentes le rythme des ouvertures d’usines ralentit. Cette hausse modérée s’explique par un ralentissement ou report des prévisions d’investissements, en raison de la conjoncture dégradée
Au niveau sectoriel :
- l’industrie verte constitue 47 % des ouvertures nettes nationales
- le secteur des biens de consommation poursuit sa dynamique
- le secteur du transport, plus particulièrement la filière automobile qui connaît un nombre important fermetures, est confronté à des enjeux de transformation majeurs
Au niveau territorial :
- la région Auvergne-Rhône-Alpes est la plus motrice avec 20 ouvertures de nouveaux sites industriels, suivie par la Nouvelle-Aquitaine avec 13 ouvertures nettes et l’Occitanie avec 5 ouvertures nettes, ce qui reste dans la continuité des relèves précédentes ;
- malgré l’ouverture de sites industriels à forte valeur ajoutée, la région Hauts-de-France recense un nombre de fermetures plus important que d’ouvertures, le solde net est donc négatif.
Consulter le baromètre industriel de l’État
Source - MINEFI
Selon les résultats du baromètre pour le premier semestre de 2024, 36 nouvelles ouvertures et extensions de sites industriels ont été relevées et confirme que la réindustrialisation française se poursuit malgré un ralentissement attendu.
La dynamique de réindustrialisation reste positive d’après le baromètre industriel de l'état
Comparée aux deux années précédentes le rythme des ouvertures d’usines ralentit. Cette hausse modérée s’explique par un ralentissement ou report des prévisions d’investissements, en raison de la conjoncture dégradée
Au niveau sectoriel :
- l’industrie verte constitue 47 % des ouvertures nettes nationales
- le secteur des biens de consommation poursuit sa dynamique
- le secteur du transport, plus particulièrement la filière automobile qui connaît un nombre important fermetures, est confronté à des enjeux de transformation majeurs
Au niveau territorial :
- la région Auvergne-Rhône-Alpes est la plus motrice avec 20 ouvertures de nouveaux sites industriels, suivie par la Nouvelle-Aquitaine avec 13 ouvertures nettes et l’Occitanie avec 5 ouvertures nettes, ce qui reste dans la continuité des relèves précédentes ;
- malgré l’ouverture de sites industriels à forte valeur ajoutée, la région Hauts-de-France recense un nombre de fermetures plus important que d’ouvertures, le solde net est donc négatif.
Consulter le baromètre industriel de l’État
Source - MINEFI