L'adoption d'un traité international destiné à limiter la pollution plastique dans le monde était prévue d'ici la fin de l’année. Plus de 3 300 délégués dont des membres représentant plus de 170 pays et des observateurs de plus de 440 organisations ont participé à cette cinquième session des négociations de l'Assemblée des Nations Unies organisée du 25 novembre au 1er décembre 2024, à Busan, en Corée du Sud.
Les négociations à Busan portaient sur l’ensemble du cycle de vie du plastique, sa production, son utilisation, la gestion des déchets mais également le recyclage.
Un groupe de pays comprenant de nombreux pays d’Amérique latine, du continent africain mais aussi l’Union européenne, le Royaume-Uni, le Canada ou encore l’Australie, ainsi que de petits États insulaires, souhaitaient voir dans le traité un article consacré à l'objectif de réduction de la production de plastiques primaires pour atteindre des "niveaux durables", avec une clause de révision tous les cinq ans. Or, certains pays notamment producteurs de pétrole comme l’Arabie saoudite, la Russie, l'Iran et le Koweit ne souhaitaient pas de réductions contraignantes. Les négociations doivent toutefois se poursuivre en 2025.
Source - Vie Publique
Les négociations à Busan portaient sur l’ensemble du cycle de vie du plastique, sa production, son utilisation, la gestion des déchets mais également le recyclage.
Un groupe de pays comprenant de nombreux pays d’Amérique latine, du continent africain mais aussi l’Union européenne, le Royaume-Uni, le Canada ou encore l’Australie, ainsi que de petits États insulaires, souhaitaient voir dans le traité un article consacré à l'objectif de réduction de la production de plastiques primaires pour atteindre des "niveaux durables", avec une clause de révision tous les cinq ans. Or, certains pays notamment producteurs de pétrole comme l’Arabie saoudite, la Russie, l'Iran et le Koweit ne souhaitaient pas de réductions contraignantes. Les négociations doivent toutefois se poursuivre en 2025.
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