En application de la loi 2020-105 (loi AGEC), le gouvernement a lancé une large consultation des parties prenantes au niveau national et local. Des pistes de travail doivent être enrichies, précisées ou amendées dans le cadre de la poursuite de la concertation avec les acteurs, afin d’œuvrer à la fois sur la réduction, le réemploi et le recyclage des emballages.
Dans ce contexte, l’ADEME publie ce jour 8 études qui ont pour ambition, à travers des analyses, des retours d’expérience, des scénarios et des pistes de réflexion, d’alimenter la réflexion en cours. Ces travaux ont notamment permis d’objectiver la pertinence du réemploi du verre
L’ADEME a également modélisé plusieurs scénarios de progression de performance de collecte, tri, réemploi et recyclage à la fois sur les aspects techniques, économiques et organisationnels.
Ces études amènent aux 4 enseignements suivants :
• Aller chercher plus de performance coûte, dans tous les cas, plus cher que le système actuel dont les performances plafonnent (1 800 M€/an contre 900 M€/an actuellement) ;
• Les coûts des scénarios « avec consigne » ou « sans consigne » sont sensiblement les mêmes ;
• La différence entre les deux scenarios porte sur le degré de certitude d’atteindre le résultat.
• Dans tous les cas il faut déployer des mesures pour augmenter la performance de collecte des autres emballages plastique.
Dossier de presse : Réduction, réemploi et recyclage des emballages ménagers : l’ADEME présente 8 nouvelles études
ADEME >> Dossier complet
Dans ce contexte, l’ADEME publie ce jour 8 études qui ont pour ambition, à travers des analyses, des retours d’expérience, des scénarios et des pistes de réflexion, d’alimenter la réflexion en cours. Ces travaux ont notamment permis d’objectiver la pertinence du réemploi du verre
L’ADEME a également modélisé plusieurs scénarios de progression de performance de collecte, tri, réemploi et recyclage à la fois sur les aspects techniques, économiques et organisationnels.
Ces études amènent aux 4 enseignements suivants :
• Aller chercher plus de performance coûte, dans tous les cas, plus cher que le système actuel dont les performances plafonnent (1 800 M€/an contre 900 M€/an actuellement) ;
• Les coûts des scénarios « avec consigne » ou « sans consigne » sont sensiblement les mêmes ;
• La différence entre les deux scenarios porte sur le degré de certitude d’atteindre le résultat.
• Dans tous les cas il faut déployer des mesures pour augmenter la performance de collecte des autres emballages plastique.
Dossier de presse : Réduction, réemploi et recyclage des emballages ménagers : l’ADEME présente 8 nouvelles études
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