En 2023, 2 100 victimes de traite ou d’exploitation des êtres humains ont été enregistrées par les services de police et de gendarmerie, soit une hausse de 6 % par rapport à 2022. Une victime sur cinq est mineure (19 %) et deux victimes sur trois sont des femmes (64 %). Après avoir baissé en 2022 (-8 %), le nombre de personnes mises en cause (1 900) est quasiment stable en 2023 (-1 %).
Dès lors que les services de police ou de gendarmerie ont constaté une infraction et ont pu y associer une victime et/ou un mis en cause, la procédure est transmise au parquet, c’est-à-dire au service du procureur de la République.
En 2023, près de 2 600 personnes mises en cause dans des affaires de traite ou d’exploitation des êtres humains ont ainsi été orientées par les parquets, quelle que soit la date d’ouverture des procédures concernées.
Sur 2 200 personnes poursuivies, 66 % ont vu leur affaire transmise à un juge d’instruction et 34 % à une juridiction de jugement.
Source - Ministère de l’Intérieur
Dès lors que les services de police ou de gendarmerie ont constaté une infraction et ont pu y associer une victime et/ou un mis en cause, la procédure est transmise au parquet, c’est-à-dire au service du procureur de la République.
En 2023, près de 2 600 personnes mises en cause dans des affaires de traite ou d’exploitation des êtres humains ont ainsi été orientées par les parquets, quelle que soit la date d’ouverture des procédures concernées.
Sur 2 200 personnes poursuivies, 66 % ont vu leur affaire transmise à un juge d’instruction et 34 % à une juridiction de jugement.
Source - Ministère de l’Intérieur