
le GBFF est une institution relativement jeune, qui correspond à la demande exprimée par nombre de pays en développement de bénéficier d’un mécanisme de financement propre à la Convention sur la biodiversité biologique. Sa mise en œuvre s’appuie sur de nombreuses synergies avec le FEM.
La France joue un rôle leader dans le financement de la biodiversité dans les pays en développement. Lors du One Planet Summit de 2021, elle a été l'un des rares pays donateurs à prendre des engagements financiers quantifiés, en s’engageant à fournir 1 milliard d'euros par an en financement de la biodiversité d'ici 2025, et en s'assurant que 30 % des financements de l'Agence française de développement (AFD) en faveur du climat auraient un impact positif sur la biodiversité.
Ces deux objectifs ont été atteints avec deux ans d'avance. En 2023, les financements du groupe AFD en faveur de la biodiversité avaient déjà atteint 1,1 milliard d'euros, et 37 % de ses financements en faveur du climat avaient également des retombées positives sur la biodiversité, faisant ainsi de la France l'un des premiers contributeurs aux financements internationaux en faveur de la biodiversité. En parallèle, la France a apporté au Fonds pour l’environnement mondial une contribution record de 300 M€ pour sa huitième reconstitution en juin 2022, en hausse de 40 % par rapport à son engagement précédent.
Source - MTE
La France joue un rôle leader dans le financement de la biodiversité dans les pays en développement. Lors du One Planet Summit de 2021, elle a été l'un des rares pays donateurs à prendre des engagements financiers quantifiés, en s’engageant à fournir 1 milliard d'euros par an en financement de la biodiversité d'ici 2025, et en s'assurant que 30 % des financements de l'Agence française de développement (AFD) en faveur du climat auraient un impact positif sur la biodiversité.
Ces deux objectifs ont été atteints avec deux ans d'avance. En 2023, les financements du groupe AFD en faveur de la biodiversité avaient déjà atteint 1,1 milliard d'euros, et 37 % de ses financements en faveur du climat avaient également des retombées positives sur la biodiversité, faisant ainsi de la France l'un des premiers contributeurs aux financements internationaux en faveur de la biodiversité. En parallèle, la France a apporté au Fonds pour l’environnement mondial une contribution record de 300 M€ pour sa huitième reconstitution en juin 2022, en hausse de 40 % par rapport à son engagement précédent.
Source - MTE
Dans la même rubrique
-
Parl. - Troisième Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC 3) - Hors redéploiement de moyens existants, aucun moyen supplémentaire n’a été identifié par les rapporteurs
-
Actu - Sécheresse : la situation en France est « déjà préoccupante », selon la ministre de la transition écologique
-
Actu - Adaptation du littoral au changement climatique : l’Association nationale des élus des littoraux (Anel) dénonce l’absence d’écoute et la passivité du gouvernement
-
Actu - État du climat en 2024 : les voyants toujours au rouge malgré le ralentissement des émissions mondiales
-
Actu - « Fertiliser » les océans pour capter le CO2 : solution miracle ou mirage écologique ?