L’étiquetage de l’origine des viandes et l’amélioration de leur traçabilité répondent à des enjeux majeurs, aussi bien pour les producteurs, qui souhaitent valoriser leur production et mettre en avant son origine, que pour les consommateurs, qui veulent une information fiable et une traçabilité permettant de garantir la sécurité des produits. Cette obligation d’étiquetage de l’origine, précédemment limitée à la viande bovine, a été étendue en avril 2015 aux viandes de porc, de mouton, de chèvre et de volaille vendues crues.
La DGCCRF a procédé à des contrôles dans toute la France et les a renforcés depuis l’été 2015. Même s’il y a peu de tromperies, elle constate que l’information du consommateur sur l’ensemble des viandes à la distribution reste perfectible dans de nombreux cas et appelle les professionnels à renforcer leur vigilance. Les contrôles se poursuivront tout au long de l’année.
- Les contrôles n’ont mis en évidence que peu de cas de tromperie.
- En revanche, l’application de la réglementation relative à l’information du consommateur sur l’origine de la viande demeure insuffisante et les taux de non-conformité sont élevés.
- Le taux d’anomalie en matière d’affichage des mentions d’étiquetage obligatoire de l’origine demeure élevé : 19 % des GMS. Il progresse même de sept points en un an dans les boucheries traditionnelles : de 28 % à 35 %...
GCCRF - 2016-03-03
La DGCCRF a procédé à des contrôles dans toute la France et les a renforcés depuis l’été 2015. Même s’il y a peu de tromperies, elle constate que l’information du consommateur sur l’ensemble des viandes à la distribution reste perfectible dans de nombreux cas et appelle les professionnels à renforcer leur vigilance. Les contrôles se poursuivront tout au long de l’année.
- Les contrôles n’ont mis en évidence que peu de cas de tromperie.
- En revanche, l’application de la réglementation relative à l’information du consommateur sur l’origine de la viande demeure insuffisante et les taux de non-conformité sont élevés.
- Le taux d’anomalie en matière d’affichage des mentions d’étiquetage obligatoire de l’origine demeure élevé : 19 % des GMS. Il progresse même de sept points en un an dans les boucheries traditionnelles : de 28 % à 35 %...
GCCRF - 2016-03-03