La question d’une éventualité du transfert de la médecine scolaire est régulièrement posée, et suscite de nombreux débats. Cette question, qui a fait l’objet de rapports parlementaires, est en effet au cœur d’enjeux importants, notamment pour la prévention, le dépistage de difficultés et la prise en charge des jeunes, durant toutes les phases de l’enfance à l’entrée dans l’âge adulte. Quarante départements se sont exprimés à ce sujet dans l’enquête menée par Départements de France.
En synthèse, il en ressort que :
• La moitié des Départements seraient prêts à un transfert sous condition et l’autre moitié ne peuvent l’envisager.
• Sur le périmètre de la médecine à cet éventuel transfert (parmi les 20 Départements prêts à envisager ce transfert) : 8 (soit 1/3 des exprimés) seraient prêts à un transfert de toute la médecine scolaire (lycée compris) ;
12 (soit 2/3 des exprimés) seraient favorables à une prise en charge de la santé, de la PMI à la fin de la scolarité en collège.
• La quasi-totalité des Départements favorables au transfert (19 sur 20) sont favorables à des souhaits de financement spécifique de l'Etat pour mettre en place des actions de prévention chez les collégiens et /ou lycéens (prévention des troubles posturaux du rachis, ergonomie, prévention des addictions, prévention des troubles nutritionnels, sexologie).
• Enfin, 15 Départements seraient favorables à candidater à ce transfert dans le cadre d’une expérimentation (et 21 ne le seraient pas). Ces données illustrent les positions mitigées des Départements à ce sujet.
Départements de France >> Résultats du sondage
En synthèse, il en ressort que :
• La moitié des Départements seraient prêts à un transfert sous condition et l’autre moitié ne peuvent l’envisager.
• Sur le périmètre de la médecine à cet éventuel transfert (parmi les 20 Départements prêts à envisager ce transfert) : 8 (soit 1/3 des exprimés) seraient prêts à un transfert de toute la médecine scolaire (lycée compris) ;
12 (soit 2/3 des exprimés) seraient favorables à une prise en charge de la santé, de la PMI à la fin de la scolarité en collège.
• La quasi-totalité des Départements favorables au transfert (19 sur 20) sont favorables à des souhaits de financement spécifique de l'Etat pour mettre en place des actions de prévention chez les collégiens et /ou lycéens (prévention des troubles posturaux du rachis, ergonomie, prévention des addictions, prévention des troubles nutritionnels, sexologie).
• Enfin, 15 Départements seraient favorables à candidater à ce transfert dans le cadre d’une expérimentation (et 21 ne le seraient pas). Ces données illustrent les positions mitigées des Départements à ce sujet.
Départements de France >> Résultats du sondage