Le président LR du Conseil départemental de Saône-et-Loire ne refuse pas d'accueillir de jeunes réfugiés (ici une famille de réfugiés syriens en avril à Myrsini, en Grèce). Mais il entend que l'Etat respecte ses engagements financiers pour en assumer le coût.(AFP/ARIS MESSINIS)
André Accary est en colère. Le président (LR) du conseil départemental de Saône-et-Loire voit sa générosité bien mal récompensée. "Dans le cadre d’un accord avec l’Etat, la Saône-et-Loire doit accueillir 32 réfugiés mineurs. C’est normal car c’est de sa compétence", dit-il. Mais "le problème, c’est qu’aujourd’hui on vient de dépasser le nombre de 150 réfugiés mineurs et on ne peut plus payer."
RP - Le Parisien/Alain Bollery - 2016-06-09
André Accary est en colère. Le président (LR) du conseil départemental de Saône-et-Loire voit sa générosité bien mal récompensée. "Dans le cadre d’un accord avec l’Etat, la Saône-et-Loire doit accueillir 32 réfugiés mineurs. C’est normal car c’est de sa compétence", dit-il. Mais "le problème, c’est qu’aujourd’hui on vient de dépasser le nombre de 150 réfugiés mineurs et on ne peut plus payer."
RP - Le Parisien/Alain Bollery - 2016-06-09