Cette eau étrangère est l’eau absorbée après la phase d’abattage, lors du processus de préparation et de refroidissement des carcasses qui précède l’opération de congélation ou de surgélation. La présence de cette eau absorbée est ainsi techniquement inévitable mais doit être maîtrisée.
La DGCCRF a mené une enquête ‒ qui s’inscrit dans un cadre européen ‒ pour contrôler la teneur en eau des volailles congelées ou surgelées. Cette enquête vise à vérifier la maîtrise des procédés de congélation ou surgélation, et qu’il n’y a pas d’ajout volontaire d’eau dans les carcasses et les découpes.
En effet, l’ajout d’eau dans ces produits, au-delà de ce qui est techniquement inévitable, conduit à augmenter artificiellement leur masse alors que la quantité de viande reste fixe. C’est donc une tromperie pour le consommateur. Un établissement visité sur cinq présentait une ou plusieurs anomalies.
DGCCRF - 2017-01-19
La DGCCRF a mené une enquête ‒ qui s’inscrit dans un cadre européen ‒ pour contrôler la teneur en eau des volailles congelées ou surgelées. Cette enquête vise à vérifier la maîtrise des procédés de congélation ou surgélation, et qu’il n’y a pas d’ajout volontaire d’eau dans les carcasses et les découpes.
En effet, l’ajout d’eau dans ces produits, au-delà de ce qui est techniquement inévitable, conduit à augmenter artificiellement leur masse alors que la quantité de viande reste fixe. C’est donc une tromperie pour le consommateur. Un établissement visité sur cinq présentait une ou plusieurs anomalies.
DGCCRF - 2017-01-19