Depuis 1990, tous les enfants de trois et quatre ans ou presque sont scolarisés. Pour les enfants de deux ans, l’évolution est différente.
Si l’on appliquait le taux de scolarisation des années 1980-1990 aux moins de deux ans, il y aurait 160 000 enfants de plus à l’école maternelle. L’équivalent d’une économie d’environ un milliard d’euros par an pour l’État et, inversement, un coût pour les familles qui doivent financer leur prise en charge.
Faut-il scolariser les plus petits, et à partir de quel âge ?
Encore faudrait-il pouvoir disposer de ces « conditions adaptées » et d’enseignants formés à l’accueil des tout-petits en nombre suffisant.
Enfin, pour ceux qui ne sont pas scolarisés, le manque de solutions d’accueil collectives est criant. Plus de la moitié des moins de trois ans n’en disposent pas . Plus de la moitié des parents gardent leurs enfants à domicile, alors que ce mode de garde n’est le premier choix que pour un tiers d’entre eux. Faute de solutions, une part des femmes persiste à ne pas avoir accès au marché du travail ou doit se contenter d’emplois à temps partiel.
Source - COMPAS
Si l’on appliquait le taux de scolarisation des années 1980-1990 aux moins de deux ans, il y aurait 160 000 enfants de plus à l’école maternelle. L’équivalent d’une économie d’environ un milliard d’euros par an pour l’État et, inversement, un coût pour les familles qui doivent financer leur prise en charge.
Faut-il scolariser les plus petits, et à partir de quel âge ?
Encore faudrait-il pouvoir disposer de ces « conditions adaptées » et d’enseignants formés à l’accueil des tout-petits en nombre suffisant.
Enfin, pour ceux qui ne sont pas scolarisés, le manque de solutions d’accueil collectives est criant. Plus de la moitié des moins de trois ans n’en disposent pas . Plus de la moitié des parents gardent leurs enfants à domicile, alors que ce mode de garde n’est le premier choix que pour un tiers d’entre eux. Faute de solutions, une part des femmes persiste à ne pas avoir accès au marché du travail ou doit se contenter d’emplois à temps partiel.
Source - COMPAS